Le système de projection de référence du service est le Lambert 93. Chacune des opérations réalisées par le service fait l'objet d'une réintégration dans le SIG départemental. La structure des données associées aux objets géographiques permet de renvoyer aux données stockées dans le SGBDR du service. Quatre niveaux d'information structurent le système d'information :
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les unités stratigraphiques (US) ou les unités architecturales (UA) dans le cas d'étude du bâti ;
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les faits ou les entités architecturales (EA) pouvant englober plusieurs US et / ou UA ;
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les murs pouvant englober plusieurs US / UA et/ou plusieurs Faits ou EA
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les structures archéologiques (niveaux de regroupement final des niveaux d'enregistrement précédents).
Ces quatre niveaux s'emboitent du plus grand au niveau le plus fin (UA et US). Ce système est structuré en fonction de l'activité du service qui intervient régulièrement en archéologie du bâti. Autour de ce noyau gravitent 53 autres tables relatives à l'enregistrement des tranchées de diagnostic, d'informations géologiques, du mobilier, de données anthropologiques, de la documentation de fouille, ou à l'enregistrement de relations entre les fiches de données (relations stratigraphiques, collages entre lots de mobilier, équivalence de faits...) ou au mobilier soit au stockage d'informations de référence.
Au-delà des informations strictement archéologiques, le SADIL intègre également les données cartographiques de référence. Certaines ont été achetées : Bd Carto, Bd Ortho...
D'autres informations sont constituées par les agents du conseil général. A ce titre le SADIL intègre dans le SIG des données cartographiques anciennes comme le cadastre napoléonien, la carte de Cassini, la carte d'Etat-Major (1/40000) ou encore les données relatives aux recensements anciens.
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